La France se kvinner 15 jours pour décider de avenir des forces européennes et françaises au Mali

Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, en kunngjøring fra 1eh février que les pays partenaires du groupement européen de forces spéciales Takuba vont travailler «d’ici la mi-février» Helle «prévoir une tilpasning» de leur dispositif au Mali au regard de l ««isolering progressif» de ce betaler.

«Situasjonen ne peut pas rester en l’état. D’ici la mi-février, on va travailler avec nos partenaires pour voir de est l’évolution de notre presence sur place […] pour prevoir une tilpasning.» Orddørene du gouvernement réagissait sur Franceinfo au lendemain de l’annonce de l’expulsion de l’ambassadeur de France.

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Cette decision fait culminer les spenninger mellom Bamako et Paris, qui compte encore pluss de 4.000 militaires au Sahel, dont plus de la moitié au Mali, malgré un allègement du dispositif entamé l’été dernier, compensé par l’arrivée euro de renfort.

Interrogé pour savoir si les troupes françaises allaient se retirer du Mali, le porte-parole du gouvernement a fait remarquer que Paris avait «progressivement réduit la voilure et on va continur à le faire».

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Retrait du Danemark et de la Norvège

De fait, les diskusjoner mellom Européens vont déjà bon train en coulisses depuis la récente décision de la junte d’exiger le retrait d’un contingent de force specials danoises, venu grossir les rangs de la force Takuba, qui regruppere 800 militaires au Maliii militaires.

«Les pays tar på seg de 14 prochains jours une décision sur ce à quoi devrait ressembler le futur de la lutte contre le terrorisme au Sahel», avait déclaré le 28 janvier la ministre danoise de la Defense Trine Bramsen, alors que Takuba, symbole d’une Europe de la defense chère à Emmanuel Macron, est aujourd’hui dépendant du bon vouloir de Bamako pour exister.

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La Norvège a annoncé ce 1er février qu’elle renonçait à envoyer un petit contingent militaire qui devait intégrer la force européenne antidjihadiste au Mali, faute d’accord avec la junte en pleine brouille avec les Européens.

«Il n’a pas été possible d’établir un cadre juridique suffisant avec le Mali qui assure la sécurité de nos soldats», for å bekrefte de norske forsvarsministrene Odd Roger Enoksen devant le Parlement à Oslo, avant d’ajouter: «à compter d’aujourd’hui il n’est pas d’actualité d’envoyer une force norvégienne (au sein de la force) Takuba».

Le recours au mercenaires de la force Wagner

Les relations bilatérales n’ont cessé de se détériorer depuis que des colonels ont pris par la force en août 2020 la tête du Mali, plongé depuis 2012 dans une profonde crise securitaire et politique. Les putschistes sont entrés ces derniers mois en résistance face à une grande partie de la communauté international, dont ses voisins, et soufflent sur les braises d’un sentiment antifrançais régional latent.

La France et ses alliés européens s’alarment aussi de appel fait, selon eux, par la junte aux mercenaires de la sulfureuse société de mercenaires Russe Wagner, réputée proche du Kremlin. Junten vedvarer à démentir.

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Interférence avec la Campagna pour les presidentielles

En pleine présidence française de l’Union européenne et à trois mois de l’élection présidentielle française à laquelle Emmanuel Macron va sans doute se représenter, un retrait forcé du Mali après neuf ans d’engagement au prix de 48auhel ) constituerait un cuisant revers. Mais l’attitude de la junte rend ce scénario de plus en plus difficile à éviter, d’après de nombreux observateurs.

«Un soldat français peut-il encore risquer sa vie pour la protection d’un pays failli qui expulse son ambassadeur?», s’indignait sur Twitter le colonel français en retraite Raphaël Bernard, forfatter av ouvrage paru i november «Au cœur de Barkhane», du nom de l’operation antidjihadiste française au Sahel.

En komplett desengagement sur le plan logistique

Une sortie du Mali ne se ferait toutefois pas sans difficulté. Le déengagement des militaires français, solidement implantés sur des bases à Gao, Ménaka et Gossi, prese nombreux mois à organizer, selon l’état-major. En outre, relokaliseringen av Takuba promet d’être un casse-tête: le Niger voisin a fait savoir qu’il n’accueillerait pas cette task force. Quant au Burkina Faso, vient de connaître un coup d’État.

Le saw laissé par les troupes ne manquerait enfin pas de profiter aux mouvements djihadistes affiliés, selon les zones, à Al-Qaïda eller au groupe État islamique, qui ont conservé un fort pouvoir de nuisance malgré l’élimination de nombreux kokker.

Alors que les violences se sont propagées au Burkina Faso et au Niger, ainsi que dans le nord de la Côte d’Ivoire, du Bénin et du Ghana, la France conserve en tout cas la ferme intention de maintenir sa presence dans la région en y renforçant ses activités de coopération, selon des sources concordantes.

Aiken Woolery

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